La Commission Développement Durable (CDD) de l’UAE s’intéresse à l’empreinte environnementale du numérique. 

La Commission Développement Durable de l’UAE s’intéresse à l’empreinte environnementale du numérique. 

A la lecture d’un article paru dans le magazine de l’Adème de janvier 2025 accessible en suivant le lien Le poids écologique du numérique : comment freiner l’emballement ? – ADEME Infos, la Commission Développement Durable (CDD) de l’UAE, sensible à la sobriété énergétique rappelle que le virtuel, le tout numérique, le télétravail et les nouveaux services digitaux, engendrent une surconsommation d’équipements, et la multiplication des data centers.

Ces nouvelles technologies, les réseaux sociaux et nouveaux services digitaux sont maintenant ancrés dans notre façon de vivre, tant dans la sphère privée que professionnelle. Une façon de prendre conscience que le numérique n’est pas ce geste écologique tant espéré et de rappeler que chacun à son niveau peut freiner cet emballement par le nécessaire recyclage des déchets d’équipements électriques et électroniques, la prolongation de la durée de vie des équipements (ordinateurs, téléphones), le reconditionnement et l’écoconception.

Les membres de la CDD s’accordent à dire que quelles que soient les solutions de remplacement pour tenter d’endiguer l’émission de gaz à effet de serre, la seule solution est de consommer moins et de recycler davantage. C’est la raison pour laquelle l’UAE, en proposant des solutions de traitement de l’eau (fontaine, purificateur, osmoseur, carafe filtrante…) participe pleinement à la réduction de l’usage du plastique à usage unique.